Cinéma et domaine public.
Regarder ou télécharger des milliers de films légalement, gratuitement et en toute liberté est possible. C’est pourquoi je propose à tous les passionnés de cinéma, cette veille. Elle vise à regrouper les meilleures ressources en ligne. Leur permettant de s’adonner à leur passion des heures et des nuits durant.
Sûrement avez-vous déjà entendu parlé du « domaine public ». Pour celles ou ceux qui ne connaîtraient
Libres ensemble : appel à la mobilisation.
Après le projet Ubuntu : je suis parce que nous sommes, je suis très heureux de relayer à la demande des organisateurs, jusqu’en novembre 2016, un magnifique projet d’envergure intitulé « Libres ensemble ».
Cette initiative réalisée en partenariat avec TV5MONDE, RFI, France24, et Monte-Carlo Doualiya est d’abord un appel aux millions de jeunes francophones, issus des cinq continents, à se mobiliser
À la recherche de la femme idéale
Jamais travail précaire n’avait été aussi élitiste. À tel point que je dus amputer de beaucoup mon curriculum vitae pour parvenir enfin à un rendez-vous d’embauche. Exit mes Masters qui laissaient place à un unique BEPC. Mon management à Saint-Gobain se muait en « chef de rayon-caissier-balayeur-smicard – non syndiqué » de chez Aldi. Mon plan de délocalisation réussi à l’ile Maurice et en Inde de
Ubuntu : je suis parce que nous sommes.
Je dois vous avouer qu’avant de prendre part en qualité d’éditeur, au fantastique projet proposé par l’association Matins du Monde, porté par le talentueux Yor Pfeiffer, j’ignorais totalement l’existence du mot « Ubuntu », qui est une philosophie humaniste africaine.
Si vous ne connaissez pas non plus, le mot « Ubuntu » provient du concept zoulou « Umuntu ngumuntu Ngabantu ».
Le jeune orage colportait sa foudre à la surface de la Terre afin de se conforter dans l’asservissement total de ses habitants.
À chacune de ses colères, les hommes se réfugiaient aux abris les plus proches, les animaux dans les anfractuosités rocheuses les plus rassurantes… la peur dans les interstices les plus orphelines. Les « enracinés » quant à eux, ployaient sous le poids de son auguste courroux. Ses pleurs rageurs fouettaient le peuple vert,
Les rêves égarés.
La nuit me couvrait de son plaid de solitude, assez pour ne pas prendre froid dans ma lassitude. Je scrutais mélancolique, la vieille patraque qui marquait son fidèle pas dans le salon. La vieille dame grinçait de tout son rhumatisme infligé par le temps. J’écoutais, dépité, la distance qu’elle érigeait entre ce que furent mes rêves d’antan et moi même. Je la trouvais ridicule à errer sans but sur la crête des sommeils, à